-
Bénéfice net trimestriel de 1 248 millions de dollars
-
Production du secteur Amont de 413 000 barils d’équivalent pétrole brut par jour
-
Production au premier trimestre la plus élevée jamais enregistrée à Kearl, avec une production brute totale de 259 000 barils par jour
-
Solide rendement en matière de raffinage, avec un débit de 417 000 barils par jour et un taux d’utilisation de la capacité de 96 pour cent
-
Dividende trimestriel en hausse de 14 pour cent, passant de 44 cents à 50 cents par action
CALGARY, Alberta--(BUSINESS WIRE)--
Imperial Oil Limited (TSE: IMO, NYSE American: IMO):
|
|
Premier trimestre
|
|
en millions de dollars canadiens, sauf indication contraire
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2023
|
|
2022
|
|
∆I
|
|
Bénéfice (perte) net (PCGR des États-Unis)
|
|
1 248
|
|
1 173
|
|
+75
|
|
Bénéfice (perte) net par action ordinaire – compte tenu d’une dilution (en dollars)
|
|
2,13
|
|
1,75
|
|
+0,38
|
|
Dépenses en immobilisations et frais d’exploration
|
|
429
|
|
296
|
|
+133
|
|
L’Impériale a déclaré un bénéfice net estimé au premier trimestre de 1 248 millions de dollars, comparativement à un bénéfice net de 1 727 millions de dollars au quatrième trimestre de 2022, avec un rendement d’exploitation solide dans tous les secteurs d’activité contrebalancé par la baisse des prix obtenus dans le secteur Amont et les marges de raffinage. Les flux de trésorerie trimestriels liés aux activités d’exploitation se sont élevés à 821 millions de dollars, ce qui comprenait un versement de rattrapage de l’impôt sur le revenu de 2,1 milliards de dollars, comparativement à 2 797 millions de dollars générés au quatrième trimestre de 2022. Excluant le fonds de roulement1, les flux de trésorerie générés par les activités d’exploitation se sont élevés à 1 554 millions de dollars.
« Les solides résultats financiers de L’Impériale au premier trimestre s’expliquent par des taux d’utilisation élevés soutenus dans l’ensemble de notre réseau de raffinage, ainsi que par la production record au premier trimestre au site de Kearl attribuable à des procédures d’exploitation améliorées en hiver » a déclaré Brad Corson, président du conseil d’administration, président et chef de la direction. « Notre solide rendement d’exploitation a fait en sorte que L’Impériale était bien placée pour maximiser la récupération de la plus-value dans le contexte commercial actuel. »
La production du secteur Amont s’est élevée en moyenne à 413 000 barils d’équivalent pétrole brut par jour au premier trimestre. À Kearl, la production trimestrielle brute totale s’est établie en moyenne à 259 000 barils par jour, soit la production la plus élevée au premier trimestre de son histoire. À Cold Lake, le rendement solide en matière de production a été maintenu avec une production trimestrielle brute s’établissant en moyenne à 141 000 barils par jour, marquant ainsi le sixième trimestre consécutif s’élevant à 140 000 barils ou plus par jour. À Syncrude, la production trimestrielle s’est établie à 76 000 barils bruts par jour, incluant le début des activités d’entretien planifiées de l’unité de cokéfaction devant être terminées vers la fin de mars.
1 Mesure financière non conforme aux PCGR. Pour la définition et le rapprochement, voir l’annexe VI.
|
Dans le secteur Aval, L’Impériale continue d’optimiser la production pour répondre à la demande au Canada grâce à un débit au cours du trimestre s’élevant en moyenne à 417 000 barils par jour, avec un taux d’utilisation des capacités de production de 96 pour cent et des ventes de produits pétroliers de 455 000 barils par jour. En janvier, L’Impériale a ajouté la capacité de l’installation de transport du diesel par voie ferrée de Dartmouth, ce qui a contribué à l’accroissement du taux d’utilisation de la capacité dans les raffineries de la compagnie ainsi qu’à l’amélioration de la marge bénéficiaire globale.
Au cours du premier trimestre, la compagnie a continué de faire avancer les principales initiatives visant à réduire les émissions en appui de son objectif de carboneutralité. Les travaux avancent en ce qui concerne le projet de 720 millions de dollars pour la construction d’un complexe de diesel renouvelable à Strathcona dont la décision d’investissement finale a été annoncée en janvier; en mars, la compagnie a mis en service avec succès la troisième unité de gaz de combustion de chaudière à Kearl, la mise en service des trois dernières unités étant prévue plus tard cette année.
En février, l’Alliance nouvelles voies a annoncé que son réseau proposé de captage, d’utlilisation et de stockage du carbone est maintenant au stade de la conception, les travaux d’ingénierie et de préparation du terrain progressant rapidement pour soutenir une application réglementaire plus tard cette année. Dans le cadre de ces travaux, l’Alliance a adjugé un contrat d’ingénierie pour l’élaboration de plans détaillés en vue de la construction d’une canalisation de transport de CO2 de 400 kilomètres qui reliera éventuellement plus de 20 installations de sables pétrolifères avec un centre de stockage permanent du carbone dans la région de Cold Lake, en Alberta. De plus, deux puits d’exploration ont été terminés jusqu’à présent afin d’évaluer davantage les caractéristiques géologiques de l’emplacement de stockage, et les résultats démontrent que l’emplacement convient très bien à la séquestration du carbone.
« À titre de membre fondateur de l’Alliance nouvelles voies, L’Impériale soutient la vision du Canada pour un avenir à émissions réduites » a déclaré M. Corson. « Des projets comme notre complexe de diesel renouvelable de Strathcona servent non seulement à soutenir notre propre cheminement vers la carboneutralité, mais ils aident aussi nos clients à réduire de façon significative leurs émissions. »
Au cours du trimestre, L’Impériale a distribué 266 millions de dollars aux actionnaires sous forme de dividendes versés et a déclaré un dividende de 50 cents par action au deuxième trimestre.
« Nous avons confiance en la capacité de L’Impériale de générer un solide flux de trésorerie disponible dans un large éventail de conditions commerciales », a déclaré M. Corson. « Nous maintenons notre engagement à distribuer l’excédent de trésorerie aux actionnaires, et je suis heureux d’annoncer une hausse de 14 pour cent de notre dividende trimestriel. »
Faits saillants du premier trimestre
-
Le bénéfice net s’est élevé à 1 248 millions de dollars, soit 2,13 dollars par action sur une base diluée, en hausse par rapport à 1 173 millions de dollars ou 1,75 dollar par action au premier trimestre de 2022.
-
Les flux de trésorerie liés aux activités d’exploitation se sont élevés à 821 millions de dollars, comparativement à des flux de trésorerie générés par les activités d’exploitation de 1 914 millions de dollars pour la même période en 2022. Les flux de trésorerie au premier trimestre de 2023 comprenaient un versement de rattrapage de l’impôt sur le revenu de 2,1 milliards de dollars. Les flux de trésorerie générés par les activités d’exploitation, hors le fonds de roulement1, se sont élevés à 1 554 millions de dollars, en hausse par rapport aux 1 219 millions de dollars pour la même période en 2022.
-
Les dépenses en immobilisations et frais d’exploration ont totalisé 429 millions de dollars, une hausse comparativement aux 296 millions de dollars au premier trimestre de 2022.
-
La société a distribué 266 millions de dollars aux actionnaires au premier trimestre de 2023 sous forme de dividendes versés.
-
La production s’est établie en moyenne à 413 000 barils d’équivalent pétrole brut par jour, en hausse par rapport aux 380 000 barils d’équivalent pétrole brut par jour à la même période en 2022.
-
La production brute totale de bitume au site de Kearl s’est établie en moyenne à 259 000 barils par jour (la part de L’Impériale se chiffrant à 184 000 barils), soit la production la plus élevée au premier trimestre de l’histoire de l’actif et en hausse par rapport aux 186 000 barils par jour (la part de L’Impériale se chiffrant à 132 000 barils) au cours du premier trimestre de 2022, reflétant le rendement d’exploitation amélioré en hiver.
-
La production brute totale de bitume au site de Cold Lake s’est établie en moyenne à 141 000 barils par jour en hausse par rapport aux 140 000 barils par jour au premier trimestre de 2022, soit le sixième trimestre consécutif au cours duquel la production s’est établie à 140 000 barils ou plus par jour.
-
La quote-part de la compagnie dans la production brute de Syncrude s’est établie en moyenne à 76 000 barils par jour, incluant le début des activités d’entretien planifiées de l’unité de cokéfaction devant être terminées vers la fin de mars, en hausse par rapport aux 77 000 barils par jour du premier trimestre de 2022.
-
Le débit moyen des raffineries a été de 417 000 barils par jour, en hausse par rapport aux 399 000 barils par jour du premier trimestre de 2022. Le taux d’utilisation de la capacité s’est situé à 96 pour cent, en hausse par rapport à 93 pour cent au premier trimestre de 2022.
-
Les ventes de produits pétroliers étaient de 455 000 barils par jour, en hausse par rapport aux 447 000 barils par jour du premier trimestre de 2022.
-
L’ajout de l’installation de transport du diesel par voie ferrée de Dartmouth a contribué à l’accroissement du taux d’utilisation de la capacité dans les raffineries de la compagnie ainsi qu’à l’amélioration de la marge bénéficiaire globale.
-
Le bénéfice net du secteur Produits chimiques a été de 53 millions de dollars pour le trimestre, comparativement à 56 millions de dollars au premier trimestre de 2022.
-
La troisième unité de gaz de combustion de chaudière a été mise en service avec succès à Kearl, la mise en service des trois dernières unités étant prévue plus tard cette année. Cette technologie permet de récupérer la chaleur résiduelle des gaz de combustion émanant d’une chaudière afin de préchauffer l’eau de procédé, et les six unités combinées ont le potentiel de réduire les émissions de gaz à effet de serre de jusqu’à 220 000 tonnes par année.
-
Alliance nouvelles voies a annoncé que son réseau proposé de captage, d’utilisation et de stockage du carbone est maintenant au stade de la conception, les travaux d’ingénierie et de préparation du terrain progressant rapidement pour soutenir une application réglementaire plus tard cette année. Dans le cadre de ces travaux, l’Alliance a adjugé un contrat d’ingénierie pour l’élaboration de plans détaillés en vue de la construction d’une canalisation de transport de CO2 de 400 kilomètres qui reliera éventuellement plus de 20 installations de sables pétrolifères avec un centre de stockage permanent du carbone dans la région de Cold Lake, en Alberta. De plus, deux puits d’exploration ont été terminés jusqu’à présent afin d’évaluer davantage les caractéristiques géologiques de l’emplacement de stockage, et les résultats démontrent que l’emplacement convient très bien à la séquestration du carbone.
-
Les travaux progressent en ce qui a trait aux mesures d’atténuation visant à résoudre le problème des eaux d’infiltration dans des endroits près de la limite de concession de Kearl. Environ 200 personnes continuent de travailler à des activités connexes sur le site. L’Impériale continue de communiquer directement avec les communautés autochtones locales et de leur fournir des mises à jour et collabore avec des agents chargés de la réglementation de l’Alberta Energy Regulator et de ministères gouvernementaux pour leur fournir de l’information. La surveillance continue de montrer qu’il n’y a pas eu d’impacts sur les sources d’eau potable locales ni aucune indication d’impact sur la faune.
Contexte commercial récent
Pendant le premier trimestre de 2023, le prix du pétrole brut a chuté à mesure que les stocks de pétrole sur le marché mondial ont atteint des niveaux plus élevés. Cette hausse des niveaux de stock a été suivie au début du deuxième trimestre par des annonces de réduction de la production dans certains des principaux pays producteurs de pétrole. En outre, au Canada, l’élargissement du différentiel WTI/WCS s’est poursuivi en janvier et en février avant de commencer à se rétablir en mars. Les marges de raffinage sont demeurées élevées en raison des faibles niveaux de stocks de produits pétroliers.
Résultats d’exploitation
Comparaison des premiers trimestres de 2023 et 2022
|
|
Premier trimestre
|
en millions de dollars canadiens, sauf indication contraire
|
|
2023
|
|
2022
|
Bénéfice (perte) net (PCGR des États-Unis)
|
|
1 248
|
|
1 173
|
Bénéfice (perte) net par action ordinaire – compte tenu d’une dilution (en dollars)
|
|
2,13
|
|
1,75
|
|
|
|
|
|
Secteur Amont
Analyse du facteur bénéfice (perte) net
en millions de dollars canadiens
2022
|
|
Prix
|
|
Volumes
|
|
Redevance
|
|
Autres
|
|
2023
|
782
|
|
(940)
|
|
100
|
|
240
|
|
148
|
|
330
|
Prix : La baisse des prix obtenus pour le bitume est principalement due à la baisse des prix du marché et à l’élargissement du différentiel WTI/WCS. Les prix moyens obtenus pour le bitume ont baissé de 39,03 $ le baril, coïncidant généralement avec ceux du WCS, et les prix touchés sur les ventes de pétrole brut synthétique ont chuté de 14,79 $ le baril, coïncidant généralement avec ceux du WTI.
Volumes : La hausse des volumes découle principalement de l’absence de conditions de froid extrême et d’une réduction des temps d’arrêt imprévus à Kearl grâce au déploiement réussi de la stratégie hivernale.
Redevances : La diminution des redevances est principalement attribuable au fléchissement des prix des matières premières.
Autres : Comprend des effets de change favorables d’environ 150 millions de dollars, lesquels ont été partiellement compensés par des frais d’exploitation plus élevés d’environ 80 millions de dollars.
Prix indicatifs et prix de vente moyens
|
Premier trimestre
|
En dollars canadiens, sauf indication contraire
|
2023
|
|
2022
|
West Texas Intermediate (en dollars américains le baril)
|
75,98
|
|
95,01
|
Western Canada Select (en dollars américains le baril)
|
51,42
|
|
80,46
|
Différentiel WTI/WCS (en dollars américains le baril)
|
24,56
|
|
14,55
|
Bitume (le baril)
|
50,33
|
|
89,36
|
Pétrole brut synthétique (le baril)
|
102,45
|
|
117,24
|
Taux de change moyen (en dollars américains)
|
0,74
|
|
0,79
|
Production
|
Premier trimestre
|
en milliers de barils par jour
|
2023
|
|
2022
|
Kearl (part de L’Impériale)
|
184
|
|
132
|
Cold Lake
|
141
|
|
140
|
Syncrude (a)
|
76
|
|
77
|
|
|
|
|
Production brute totale de Kearl (en milliers de barils par jour)
|
259
|
|
186
|
(a) Au premier trimestre de 2023, la production brute de Syncrude comprenait environ 2 milliers
de barils de bitume par jour et d’autres produits (2022 – 2 milliers de barils par jour) qui étaient
exportés vers les installations de l’opérateur à l’aide d’un pipeline d’interconnexion existant.
|
|
|
|
La hausse de la production à Kearl découle principalement de l’absence de conditions de froid extrême et d’une réduction des temps d’arrêt imprévus grâce au déploiement réussi de la stratégie hivernale.
Secteur Aval
Analyse du facteur bénéfice (perte) net
en millions de dollars canadiens
2022
|
|
Marges
|
|
Autres
|
|
2023
|
389
|
|
370
|
|
111
|
|
870
|
Marges : L’augmentation des marges reflète principalement une amélioration de la conjoncture.
Autres : Amélioration des volumes d’environ 90 millions de dollars et des effets de change favorables d’environ 80 millions de dollars.
Taux d’utilisation de la capacité de raffinage et ventes de produits pétroliers
|
Premier trimestre
|
en milliers de barils par jour, sauf indication contraire
|
2023
|
|
2022
|
Débit des raffineries
|
417
|
|
399
|
Utilisation de la capacité de raffinage (en pourcentage)
|
96
|
|
93
|
Ventes de produits pétroliers
|
455
|
|
447
|
L’amélioration du débit des raffineries au premier trimestre de 2023 est principalement attribuable à la diminution des activités d’entretien systématique.
Produits chimiques
A
nalyse du facteur bénéfice (perte) net
en millions de dollars canadiens
2022
|
|
Marges
|
|
Autres
|
|
2023
|
56
|
|
—
|
|
(3)
|
|
53
|
Comptes non sectoriels et autres
|
Premier trimestre
|
en millions de dollars canadiens
|
2023
|
|
2022
|
Bénéfice (perte) net (PCGR des États-Unis)
|
(5)
|
|
(54)
|
Situation de trésorerie et sources de financement
|
Premier trimestre
|
en millions de dollars canadiens
|
2023
|
|
2022
|
Flux de trésorerie liés aux :
|
|
|
|
Activités d’exploitation
|
(821)
|
|
1 914
|
Activités d’investissement
|
(414)
|
|
(279)
|
Activités de financement
|
(271)
|
|
(639)
|
Augmentation (diminution) de trésorerie et des équivalents de trésorerie
|
(1 506)
|
|
996
|
|
|
|
|
Trésorerie et équivalents de trésorerie à la fin de la période
|
2 243
|
|
3 149
|
Les flux de trésorerie liés aux activités d’exploitation reflètent principalement les effets défavorables du fonds de roulement, incluant un versement de rattrapage de l’impôt sur le revenu de 2,1 milliards de dollars et la baisse des prix obtenus dans le secteur Amont, partiellement compensés par les marges plus élevées dans le secteur Aval.
Les flux de trésorerie liés aux activités d’investissement reflètent principalement la hausse des ajouts aux immobilisations corporelles.
Les flux de trésorerie liés aux activités de financement reflètent principalement :
|
Premier trimestre
|
en millions de dollars canadiens, sauf indication contraire
|
2023
|
|
2022
|
Dividendes versés
|
266
|
|
185
|
Dividende par action versé (en dollars)
|
0,44
|
|
0,27
|
Rachats d’actions (a)
|
—
|
|
449
|
Nombre d’actions achetées (en millions) (a)
|
—
|
|
8,9
|
La compagnie n’a pas acheté d’actions au cours de premier trimestre de 2023. Au cours du premier trimestre
de 2022, les rachats d’actions ont été effectués dans le cadre du programme d’offre publique de rachat dans
le cours normal des activités de la compagnie et couvraient les actions rachetées à Exxon Mobil Corporation,
mais hors de l’offre publique de rachat dans le cours normal des activités.
|
Des données financières et d’exploitation clés suivent.
Énoncés prospectifs
Les énoncés contenus dans le présent rapport qui sont liés à des situations ou des événements futurs, y compris les prévisions, les objectifs, les attentes, les estimations et les plans d’affaires sont des énoncés prospectifs. De même, les discussions sur les plans futurs de réduction des émissions en vue d’atteindre la carboneutralité dépendent de facteurs liés au marché futur tels que les progrès technologiques et l’appui en matière de politiques, et représentent des énoncés prospectifs. Les énoncés prospectifs peuvent être identifiés par l’emploi de tournures utilisant certains mots, notamment : croit, anticipe, entend, propose, planifie, but, recherche, évalue, compte, futur, continu, probable, peut, doit, aspire et autres références semblables à des périodes futures. Les énoncés prospectifs contenus dans le présent rapport comprennent notamment des références à la poursuite de l’optimisation de la production pour répondre à la demande de carburant au Canada; l’impact de l’installation de transport du pétrole par voie ferrée de Dartmouth sur l’utilisation et la marge globale de captage du carbone; le complexe de diesel renouvelable de la compagnie à Strathcona, incluant le coût du projet, son incidence sur le cheminement de la compagnie vers la carboneutralité et sur l’aide apportée aux clients en vue de réduire leurs émissions; le calendrier de mise en service de l’unité de gaz de combustion de chaudière à Kearl et les projections concernant les réductions des émissions; les progrès en ce qui concerne le réseau de captage, d’utilisation et de stockage du carbone de l’Alliance nouvelles voies, y compris l’échéancier et l’évaluation de l’emplacement de stockage; la capacité de générer un flux de trésorerie disponible robuste dans un large éventail de conditions commerciales; le maintien de l’engagement à distribuer l’excédent de trésorerie aux actionnaires; et les activités menées à Kearl en ce a trait aux eaux d’infiltration, y compris les effectifs et l’engagement continu envers les communautés, les agents et les ministères gouvernementaux chargés de la réglementation.
Les énoncés prospectifs sont fondés sur les prévisions actuelles de la compagnie, ses estimations, ses projections et ses hypothèses émises au moment où les énoncés sont faits. Les résultats financiers et d’exploitation futurs réels, y compris les attentes et les hypothèses concernant la croissance de la demande et la source, l’offre et le bouquet énergétiques; les taux, la croissance et la composition de la production de divers actifs; les plans de projet, l’échéancier, les coûts, les évaluations techniques et les capacités et l’aptitude de la compagnie à exécuter efficacement ces plans et à exploiter ses actifs, y compris son investissement dans le complexe de production de diesel renouvelable à Strathcona; l’adoption de nouvelles installations ou technologies et leur incidence sur la réduction de l’intensité des émissions de GES, y compris notamment, mais sans s’y limiter, le diesel renouvelable de Strathcona, le captage, l’utilisation et le stockage du carbone notamment en lien avec l’hydrogène requis pour le projet de diesel renouvelable, et tout changement dans la portée, les modalités et les coûts de ces projets; pour le diesel renouvelable, la disponibilité et le coût des charges d’alimentation obtenues de sources et de cultures locales et la fourniture de diesel renouvelable à la Colombie-Britannique dans le cadre de sa législation sur les carburants à faibles émissions de carbone; le volume et le rythme des réductions d’émissions, dont les conséquences des carburants à faibles émissions de carbone; l’appui des responsables des politiques et d’autres intervenants en ce qui concerne les nouvelles technologies comme le captage, l’utilisation et le stockage du carbone; le rendement des tiers fournisseurs de services; la réception des approbations réglementaires en temps voulu; le taux d’utilisation de la capacité de raffinage; les lois applicables et les politiques gouvernementales applicables, y compris relativement aux changements climatiques, aux réductions des émissions de GES et aux carburants à faibles émissions de carbone; la capacité à compenser toute pression inflationniste en cours ; l’allocation du capital, y compris les gains réalisés par les actionnaires, et les dépenses en capital et liées à l’environnement; l’évolution de la pandémie de la COVID-19 et ses répercussions sur la capacité de L’Impériale à exploiter ses actifs; ainsi que les prix des matières premières, les taux de change et les conditions générales du marché pourraient varier considérablement selon un certain nombre de facteurs.
Ces facteurs comprennent les variations mondiales, régionales ou locales de l’offre et de la demande de pétrole, de gaz naturel, de produits pétroliers et de produits pétrochimiques ainsi que les incidences sur les prix, les écarts et les marges, y compris les mesures prises par les gouvernements étrangers en ce qui concerne les niveaux d’approvisionnement et les prix, l’incidence de la COVID-19 sur la demande et la survenance de guerres; la disponibilité et la répartition du capital; la réception, en temps utile, des approbations réglementaires et tierces, notamment pour les nouvelles technologies qui aideront la compagnie à atteindre ses objectifs de réduction des émissions; les résultats des programmes de recherche et des nouvelles technologies, ainsi que la capacité de porter les nouvelles technologies à une échelle commerciale à coût concurrentiel et la compétitivité des sources d’énergie de rechange et des autres technologies de réduction des émissions; l’absence de soutien par les gouvernements et les responsables des politiques pour l’adoption de nouvelles technologies de réduction des émissions; les événements politiques ou réglementaires, y compris les changements législatifs ou les modifications des politiques gouvernementales, la réglementation environnementale, dont la réglementation portant sur les changements climatiques et les émissions de gaz à effet de serre, ainsi que les mesures prises en réponse à la COVID-19; les difficultés techniques ou opérationnelles imprévues; la gestion et les calendriers des projets et l’achèvement de ces projets dans les délais prévus; la disponibilité et le rendement des tiers fournisseurs de services; les risques environnementaux inhérents aux activités d’exploration et de production pétrolières et gazières; l’efficacité de la gestion et la préparation pour une intervention en cas de sinistre, y compris les plans de continuité des activités en réponse à la COVID-19; les risques et dangers opérationnels; les incidents liés à la cybersécurité, y compris la hausse du télétravail; les taux de change; la conjoncture économique générale; ainsi que d’autres facteurs abordés dans les facteurs de risque à la rubrique 1A et à la rubrique 7 du rapport de gestion sur la situation financière et les résultats d’exploitation de la Compagnie Pétrolière Impériale Limitée du plus récent rapport annuel sur le formulaire 10-K et des rapports provisoires ultérieurs.
Les énoncés prospectifs ne garantissent pas le rendement futur et comportent un certain nombre de risques et d’incertitudes, qui sont parfois similaires à ceux d’autres sociétés pétrolières et gazières et parfois exclusifs à la Compagnie Pétrolière Impériale Limitée. Les résultats réels de L’Impériale peuvent être sensiblement différents des résultats implicites ou explicites selon les énoncés prospectifs, et les lecteurs sont priés de ne pas s’y fier aveuglément. L’Impériale ne s’engage aucunement à publier une mise à jour des énoncés prospectifs fournis aux présentes, sauf si la loi l’exige.
Les énoncés prospectifs et autres déclarations concernant les initiatives et les aspirations environnementales, sociales et en matière de durabilité de L’Impériale ne sont pas une indication que ces énoncés sont forcément importants pour les investisseurs ou qu’ils doivent être communiqués dans les documents de la compagnie déposés auprès des autorités de réglementation. De plus, les énoncés environnementaux, sociaux et en matière de durabilité historiques, actuels et prospectifs peuvent être basés sur des normes de mesure des progrès qui sont encore en voie de développement, sur des contrôles et des processus internes qui continuent d’évoluer et sur des hypothèses qui pourraient changer dans l’avenir, y compris l’élaboration d’un nouveau règlement. Les projets ou débouchés individuels peuvent progresser en fonction d’un certain nombre de facteurs, notamment la disponibilité d’une politique de soutien, la technologie permettant une réduction rentable, le processus de planification de la compagnie et l’alignement avec nos partenaires et autres parties prenantes.
Dans ce communiqué, tous les montants en dollars sont exprimés en dollars canadiens, sauf indication contraire. Ce communiqué doit être lu en parallèle avec le formulaire 10-K le plus récent de L’Impériale. Les chiffres ayant été arrondis, leur somme peut ne pas correspondre au total indiqué.
Le terme « projet » tel qu’il est utilisé dans ce communiqué peut renvoyer à toute une gamme d’activités différentes et n’a pas nécessairement le même sens que celui qu’on lui donne dans les rapports sur la transparence des paiements au gouvernement.
|
Annexe I
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Trois mois
|
en millions de dollars canadiens, sauf indication contraire
|
|
2023
|
|
2022
|
|
|
|
|
|
Bénéfice (perte) net (PCGR des États-Unis)
|
|
|
|
|
Total des produits et des autres revenus
|
|
12 121
|
|
12 686
|
Total des dépenses
|
|
10 476
|
|
11 152
|
Bénéfice (perte) avant impôts
|
|
1 645
|
|
1 534
|
Impôts sur le bénéfice
|
|
397
|
|
361
|
Bénéfice (perte) net
|
|
1 248
|
|
1 173
|
|
|
|
|
|
Bénéfice (perte) net par action ordinaire (en dollars)
|
|
2,14
|
|
1,75
|
Bénéfice (perte) net par action ordinaire – compte tenu d’une dilution (en dollars)
|
|
2,13
|
|
1,75
|
|
|
|
|
|
Autres données financières
|
|
|
|
|
Gain (perte) à la vente d’actifs, après impôts
|
|
8
|
|
16
|
|
|
|
|
|
Total de l’actif au 31 mars
|
|
42 115
|
|
43 810
|
|
|
|
|
|
Total de la dette au 31 mars
|
|
4 149
|
|
5 171
|
|
|
|
|
|
Capitaux propres au 31 mars
|
|
23 435
|
|
22 276
|
|
|
|
|
|
Capital utilisé au 31 mars
|
|
27 610
|
|
27 471
|
|
|
|
|
|
Dividendes déclarés sur les actions ordinaires
|
|
|
|
|
Total
|
|
257
|
|
228
|
Par action ordinaire (en dollars)
|
|
0,44
|
|
0,34
|
|
|
|
|
|
Millions d’actions ordinaires en circulation
|
|
|
|
|
Au 31 mars
|
|
584,2
|
|
669,1
|
Moyenne – compte tenu d’une dilution
|
|
585,4
|
|
671,9
|
|
|
|
|
|
|
Annexe II
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Trois mois
|
en millions de dollars canadiens
|
|
2023
|
|
2022
|
|
|
|
|
|
Trésorerie et équivalents de trésorerie à la fin de la période
|
|
2 243
|
|
3 149
|
|
|
|
|
|
Activités d’exploitation
|
|
|
|
|
Bénéfice (perte) net
|
|
1 248
|
|
1 173
|
Ajustements relatifs aux éléments hors trésorerie :
|
|
|
|
|
Dépréciation et épuisement
|
|
490
|
|
426
|
(Gain) perte à la vente d’actifs
|
|
(9)
|
|
(20)
|
Impôts sur les bénéfices reportés et autres
|
|
(56)
|
|
(331)
|
Variations de l’actif et du passif d’exploitation
|
|
(2 375)
|
|
695
|
Autres postes – montant net
|
|
(119)
|
|
(29)
|
Flux de trésorerie liés aux activités d’exploitation
|
|
(821)
|
|
1 914
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Activités d’investissement
|
|
|
|
|
Ajouts aux immobilisations corporelles
|
|
(429)
|
|
(304)
|
Produits de la vente d’actifs
|
|
14
|
|
24
|
Prêt à des sociétés dans lesquelles la compagnie détient une participation en actions – montant net
|
|
1
|
|
1
|
Flux de trésorerie liés aux activités d’investissement
|
|
(414)
|
|
(279)
|
|
|
|
|
|
Flux de trésorerie liés aux activités de financement
|
|
(271)
|
|
(639)
|
|
|
|
|
|
|
Annexe III
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Trois mois
|
en millions de dollars canadiens
|
|
2023
|
|
2022
|
|
|
|
|
|
Bénéfice (perte) net (PCGR des États-Unis)
|
|
|
|
|
Secteur Amont
|
|
330
|
|
782
|
Secteur Aval
|
|
870
|
|
389
|
Produits chimiques
|
|
53
|
|
56
|
Comptes non sectoriels et autres
|
|
(5)
|
|
(54)
|
Bénéfice (perte) net
|
|
1 248
|
|
1 173
|
|
|
|
|
|
Produits et autres revenus
|
|
|
|
|
Secteur Amont
|
|
3 700
|
|
4 534
|
Secteur Aval
|
|
13 482
|
|
14 045
|
Produits chimiques
|
|
433
|
|
471
|
Éliminations/Comptes non sectoriels et autres
|
|
(5 494)
|
|
(6 364)
|
Produits et autres revenus
|
|
12 121
|
|
12 686
|
|
|
|
|
|
Achats de pétrole brut et de produits
|
|
|
|
|
Secteur Amont
|
|
1 543
|
|
1 890
|
Secteur Aval
|
|
11 196
|
|
12 512
|
Produits chimiques
|
|
274
|
|
315
|
Éliminations
|
|
(5 535)
|
|
(6 367)
|
Achats de pétrole brut et de produits
|
|
7 478
|
|
8 350
|
|
|
|
|
|
Production et fabrication
|
|
|
|
|
Secteur Amont
|
|
1 287
|
|
1 249
|
Secteur Aval
|
|
411
|
|
356
|
Produits chimiques
|
|
58
|
|
54
|
Éliminations
|
|
—
|
|
—
|
Production et fabrication
|
|
1 756
|
|
1 659
|
|
|
|
|
|
Frais de vente et frais généraux
|
|
|
|
|
Secteur Amont
|
|
—
|
|
—
|
Secteur Aval
|
|
157
|
|
147
|
Produits chimiques
|
|
26
|
|
23
|
Éliminations/Comptes non sectoriels et autres
|
|
3
|
|
55
|
Frais de vente et frais généraux
|
|
186
|
|
225
|
|
|
|
|
|
Dépenses en immobilisations et frais d’exploration
|
|
|
|
|
Secteur Amont
|
|
321
|
|
222
|
Secteur Aval
|
|
74
|
|
68
|
Produits chimiques
|
|
4
|
|
1
|
Comptes non sectoriels et autres
|
|
30
|
|
5
|
Dépenses en immobilisations et frais d’exploration
|
|
429
|
|
296
|
|
|
|
|
|
Frais d’exploration imputés au bénéfice du secteur Amont inclus ci-dessus
|
|
1
|
|
2
|
|
|
|
|
|
|
Annexe IV
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Données d’exploitation
|
|
Trois mois
|
|
|
2023
|
|
2022
|
|
|
|
|
|
Production brute de pétrole brut et de liquides du gaz naturel (LGN)
|
|
|
|
|
(en milliers de barils par jour)
|
|
|
|
|
Kearl
|
|
184
|
|
132
|
Cold Lake
|
|
141
|
|
140
|
Syncrude (a)
|
|
76
|
|
77
|
Classique
|
|
5
|
|
11
|
Total de la production de pétrole brut
|
|
406
|
|
360
|
LGN mis en vente
|
|
—
|
|
2
|
Total de la production de pétrole brut et de LGN
|
|
406
|
|
362
|
|
|
|
|
|
Production brute de gaz naturel (en millions de pieds cubes par jour)
|
|
40
|
|
110
|
|
|
|
|
|
Production brute d’équivalent pétrole (b)
|
|
413
|
|
380
|
(en milliers de barils d’équivalent pétrole par jour)
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Production nette de pétrole brut et de LGN (en milliers de barils par jour)
|
Kearl
|
|
171
|
|
123
|
Cold Lake
|
|
118
|
|
107
|
Syncrude (a)
|
|
70
|
|
59
|
Classique
|
|
5
|
|
11
|
Total de la production de pétrole brut
|
|
364
|
|
300
|
LGN mis en vente
|
|
—
|
|
1
|
Total de la production de pétrole brut et de LGN
|
|
364
|
|
301
|
|
|
|
|
|
Production nette de gaz naturel (en millions de pieds cubes par jour)
|
|
37
|
|
107
|
|
|
|
|
|
Production nette d’équivalent pétrole (b)
|
|
370
|
|
319
|
(en milliers de barils d’équivalent pétrole par jour)
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Ventes de brut fluidifié de Kearl (en milliers de barils par jour)
|
|
261
|
|
189
|
Ventes de brut fluidifié de Cold Lake (en milliers de barils par jour)
|
|
190
|
|
187
|
Ventes de LGN (en milliers de barils par jour)
|
|
—
|
|
1
|
|
|
|
|
|
Prix de vente moyens (en dollars canadiens)
|
|
|
|
|
Bitume (le baril)
|
|
50,33
|
|
89,36
|
Pétrole brut synthétique (le baril)
|
|
102,45
|
|
117,24
|
Pétrole brut classique (le baril)
|
|
65,02
|
|
98,38
|
LGN (le baril)
|
|
—
|
|
59,27
|
Gaz naturel (le millier de pieds cubes)
|
|
3,05
|
|
5,08
|
|
|
|
|
|
Débit des raffineries (en milliers de barils par jour)
|
|
417
|
|
399
|
Utilisation de la capacité de raffinage (en pourcentage)
|
|
96
|
|
93
|
|
|
|
|
|
Ventes de produits pétroliers (en milliers de barils par jour)
|
|
|
|
|
Essence
|
|
213
|
|
209
|
Mazout domestique, carburant diesel et carburéacteur
|
|
183
|
|
173
|
Huiles lubrifiantes et autres produits
|
|
42
|
|
48
|
Mazout lourd
|
|
17
|
|
17
|
Ventes nettes de produits pétroliers
|
|
455
|
|
447
|
Ventes de produits pétrochimiques (en milliers de tonnes)
|
|
218
|
|
210
|
(a) La production brute et nette de Syncrude comprend du bitume et d’autres produits exportés
vers les installations de l’opérateur à l’aide d’un pipeline d’interconnexion existant.
|
Production brute de bitume et d’autres produits (en milliers de barils par jour)
|
|
2
|
|
2
|
Production nette de bitume et d’autres produits (en milliers de barils par jour)
|
|
2
|
|
2
|
(b) Gaz converti en équivalent pétrole à raison de six millions de pieds cubes pour mille barils.
|
|
|
|
Annexe V
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Bénéfice (perte) net
(PCGR des États-Unis)
|
|
Bénéfice (perte) net par action
ordinaire – résultat dilué (a)
|
|
|
|
en millions de dollars canadiens
|
|
dollars canadiens
|
|
|
|
|
2019
|
|
|
|
Premier trimestre
|
293
|
|
0,38
|
Deuxième trimestre
|
1 212
|
|
1,57
|
Troisième trimestre
|
424
|
|
0,56
|
Quatrième trimestre
|
271
|
|
0,36
|
Exercice
|
2 200
|
|
2,88
|
|
|
|
|
2020
|
|
|
|
Premier trimestre
|
(188)
|
|
(0,25)
|
Deuxième trimestre
|
(526)
|
|
(0,72)
|
Troisième trimestre
|
3
|
|
—
|
Quatrième trimestre
|
(1 146)
|
|
(1,56)
|
Exercice
|
(1 857)
|
|
(2,53)
|
|
|
|
|
2021
|
|
|
|
Premier trimestre
|
392
|
|
0,53
|
Deuxième trimestre
|
366
|
|
0,50
|
Troisième trimestre
|
908
|
|
1,29
|
Quatrième trimestre
|
813
|
|
1,18
|
Exercice
|
2 479
|
|
3,48
|
|
|
|
|
2022
|
|
|
|
Premier trimestre
|
1 173
|
|
1,75
|
Deuxième trimestre
|
2 409
|
|
3,63
|
Troisième trimestre
|
2 031
|
|
3,24
|
Quatrième trimestre
|
1 727
|
|
2,86
|
Exercice
|
7 340
|
|
11,44
|
|
|
|
|
2023
|
|
|
|
Premier trimestre
|
1 248
|
|
2,13
|
(a) Calculé à l’aide du nombre moyen d’actions en circulation au cours de chaque période.
La somme des trimestres présentés peut ne pas correspondre au total de l’exercice.
|
Annexe VI
Mesures financières non conformes aux PCGR et autres mesures financières
Certaines mesures incluses dans ce document ne sont pas prescrites par les principes comptables généralement reconnus (PCGR) des États-Unis. Ces mesures constituent des « mesures financières non conformes aux PCGR » en vertu du règlement G de la Securities and Exchange Commission et de l’élément 10(e) du règlement S-K, et d’« autres mesures financières » en vertu du Règlement 52-112 sur l’information concernant les mesures financières non conformes aux PCGR et d’autres mesures financières des Autorités canadiennes en valeurs mobilières.
Le rapprochement de ces mesures financières non conformes aux PCGR et de la mesure la plus comparable selon les PCGR, ainsi que d’autres renseignements requis par ces règlements ont été fournis. Les mesures financières non conformes aux PCGR ainsi que les autres mesures financières ne sont pas des mesures financières normalisées selon les PCGR et n’ont pas non plus de sens normalisé. Par conséquent, ces mesures pourraient ne pas être directement comparables aux mesures présentées par d’autres sociétés et ne devraient pas se substituer aux mesures financières conformes aux PCGR.
Les flux de trésorerie liés aux activités d’exploitation, hors le fonds de roulement
Les flux de trésorerie liés aux activités d’exploitation hors le fonds de roulement constituent une mesure financière non conforme aux PCGR correspondant au total des flux de trésorerie provenant des activités d’exploitation moins les variations de l’actif et du passif d’exploitation de la période. Les « Flux de trésorerie liés aux activités d’exploitation » figurant dans l’état consolidé des flux de trésorerie de la compagnie constituent la mesure financière la plus directement comparable que l’on peut trouver dans les états financiers. La direction croit qu’il est utile pour les investisseurs de tenir compte de ces chiffres pour comparer le rendement sous-jacent des activités de la compagnie pour les périodes où il existe d’importants écarts d’une période au niveau des variations du fonds de roulement. Les variations du fonds de roulement correspondent aux « Variations de l’actif et du passif d’exploitation », telles qu’elles sont indiquées dans l’état consolidé des flux de trésorerie de la compagnie et dans l’Annexe II du présent document. Cette mesure évalue les flux de trésorerie au niveau de l’exploitation et, à ce titre, n’inclut pas le produit de la vente d’actifs, tel que défini dans les flux de trésorerie générés par les activités d’exploitation et de vente d’actifs à la rubrique Terminologie du formulaire 10-K annuel de la compagnie.
Rapprochement des flux de trésorerie liés aux activités d’exploitation, hors le fonds de roulement
|
|
Trois mois
|
en millions de dollars canadiens
|
|
2023
|
|
2022
|
Extrait de l’état consolidé des résultats de L’Impériale
|
|
|
|
|
Flux de trésorerie liés aux activités d’exploitation
|
|
(821)
|
|
1 914
|
|
|
|
|
|
Moins les variations du fonds de roulement
|
|
|
|
|
Variations de l’actif et du passif d’exploitation
|
|
(2 375)
|
|
695
|
Flux de trésorerie liés aux activités d’exploitation, hors le fonds de roulement
|
|
1 554
|
|
1 219
|
Flux de trésorerie disponible
Le flux de trésorerie disponible est une mesure financière non conforme aux PCGR qui correspond aux flux de trésorerie issus des activités d’exploitation, moins les ajouts aux immobilisations corporelles et les placements en actions de la compagnie, plus le produit de la vente d’actifs. Les « Flux de trésorerie liés aux activités d’exploitation » figurant dans l’état consolidé des flux de trésorerie de la compagnie constituent la mesure financière la plus directement comparable que l’on peut trouver dans les états financiers. Cette mesure est utilisée pour évaluer les liquidités disponibles pour les activités de financement (y compris, mais sans s’y limiter, les dividendes et les achats d’actions) après des investissements dans l’entreprise.
Rapprochement du flux de trésorerie disponible
|
|
Trois mois
|
en millions de dollars canadiens
|
|
2023
|
|
2022
|
Extrait de l’état consolidé des résultats de L’Impériale
|
|
|
|
|
Flux de trésorerie liés aux activités d’exploitation
|
|
(821)
|
|
1 914
|
|
|
|
|
|
Flux de trésorerie liés aux activités d’investissement
|
|
|
|
|
Ajouts aux immobilisations corporelles
|
|
(429)
|
|
(304)
|
Produits de la vente d’actifs
|
|
14
|
|
24
|
Prêt à des sociétés dans lesquelles la compagnie détient
une participation en actions – montant net
|
|
1
|
|
1
|
Flux de trésorerie disponible
|
|
(1 235)
|
|
1 635
|
Bénéfice (perte) net, hors les éléments identifiés
Le bénéfice (perte) net hors les éléments identifiés est une mesure financière non conforme aux PCGR qui correspond au bénéfice (perte) net total hors les événements non opérationnels individuellement importants avec une incidence sur le bénéfice total de la compagnie d’au moins 100 millions de dollars au cours d’un trimestre donné. L’incidence du bénéfice (perte) net d’un élément identifié pour un secteur individuel dans un trimestre donné peut être inférieure à 100 millions de dollars lorsque l’élément touche plusieurs secteurs ou plusieurs périodes. Le « Bénéfice (perte) net » figurant dans l’état consolidé des résultats de la compagnie constitue la mesure financière la plus directement comparable que l’on peut trouver dans les états financiers. La direction utilise ces chiffres pour améliorer la comparabilité des activités sous-jacentes sur plusieurs périodes en isolant et retirant les événements non opérationnels importants des résultats commerciaux. La compagnie croit que cette façon de faire assure aux investisseurs une plus grande transparence quant aux tendances et résultats commerciaux et leur donne un point de vue semblable à celui de la direction. Le bénéfice (perte) net hors les éléments identifiés ne doit pas être examiné isolément du bénéfice (perte) net établi selon les PCGR des États-Unis ni remplacer ce dernier. Tous les éléments identifiés sont présentés après impôt.
Rapprochement du bénéfice (perte) net, hors les éléments identifiés
Aucun élément n’a été identifié aux premiers trimestres de 2023 et 2022.
Coûts d’exploitation (coûts financiers)
Les coûts d’exploitation sont une mesure financière non conforme aux PCGR qui correspond au total des dépenses, déduction faite des achats de pétrole brut et de produits, des taxes d’accise fédérales et des frais de carburant, du financement, et des coûts de type hors trésorerie dont la dépréciation et l’épuisement, ainsi que la retraite non liée aux services et les avantages postérieurs au départ à la retraite. Les composants des coûts d’exploitation comprennent ce qui suit : « Production et fabrication », « Frais de vente et frais généraux », et « Exploration », dans l’état consolidé des résultats de la compagnie et comme déclarés à l’Annexe III du présent document. La somme de ces postes de l’état des résultats sert d’indication des coûts d’exploitation et ne représente pas les décaissements totaux de la compagnie. Le « Total des dépenses » figurant dans l’état consolidé des résultats de la compagnie constitue la mesure financière la plus directement comparable que l’on peut trouver dans les états financiers. Cette mesure est utile pour que les investisseurs comprennent les efforts de la compagnie pour optimiser la trésorerie grâce à une gestion disciplinée des dépenses.
Rapprochement des coûts d’exploitation
|
Trois mois
|
en millions de dollars canadiens
|
2023
|
|
2022
|
Extrait de l’état consolidé des résultats de L’Impériale
|
|
|
|
Total des dépenses
|
10 476
|
|
11 152
|
Moins :
|
|
|
|
Achats de pétrole brut et de produits
|
7 478
|
|
8 350
|
Taxes d’accise fédérales et frais de carburant
|
529
|
|
479
|
Dépréciation et épuisement
|
490
|
|
426
|
Retraite non liée aux services et avantages postérieurs au départ à la retraite
|
20
|
|
4
|
Financement
|
16
|
|
7
|
Total des coûts d’exploitation
|
1 943
|
|
1 886
|
Composants des coûts d’exploitation
|
Trois mois
|
en millions de dollars canadiens
|
2023
|
|
2022
|
Extrait de l’état consolidé des résultats de L’Impériale
|
|
|
|
Production et fabrication
|
1 756
|
|
1 659
|
Frais de vente et frais généraux
|
186
|
|
225
|
Exploration
|
1
|
|
2
|
Coûts d’exploitation
|
1 943
|
|
1 886
|
Contributions des segments au total des coûts d’exploitation
|
Trois mois
|
en millions de dollars canadiens
|
2023
|
|
2022
|
Secteur Amont
|
1 288
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1 251
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Secteur Aval
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568
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503
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Produits chimiques
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84
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77
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Éliminations/Comptes non sectoriels
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3
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55
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Coûts d’exploitation
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1 943
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1 886
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Coûts d’exploitation unitaires (coûts unitaires)
Les coûts d’exploitation unitaires constituent un ratio non conforme aux PCGR. Les coûts d’exploitation unitaires (coûts unitaires) sont calculés en divisant les coûts d’exploitation par la production brute totale d’équivalent pétrole et sont calculés pour le segment Amont, ainsi que pour les principaux actifs de ce secteur. Les coûts d’exploitation, une mesure financière non conforme aux PCGR, sont indiqués et rapprochés ci-dessus. Cette mesure est utile pour que les investisseurs comprennent les efforts de gestion des dépenses déployés pour les principaux actifs de la compagnie à titre de composants dans le cadre général du secteur Amont. Les coûts d’exploitation unitaires, comme utilisés par la direction, ne correspondent pas directement à la définition des « Coûts de production unitaires moyens » énoncée par la Securities and Exchange Commission (SEC) des États-Unis et indiquée dans le formulaire SEC 10-K de la compagnie.
Composants des coûts d’exploitation unitaires
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Trois mois
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2023
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2022
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en millions de dollars canadiens
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Secteur Amont (a)
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Kearl
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Cold Lake
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Syncrude
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Secteur Amont (a)
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|
Kearl
|
|
Cold Lake
|
|
Syncrude
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Production et fabrication
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1 287
|
|
558
|
|
302
|
|
399
|
|
1 249
|
|
521
|
|
322
|
|
348
|
Frais de vente et frais généraux
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—
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|
—
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—
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|
—
|
|
—
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|
—
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|
—
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|
—
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Exploration
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1
|
|
—
|
|
—
|
|
—
|
|
2
|
|
—
|
|
—
|
|
—
|
Coûts d’exploitation
|
1 288
|
|
558
|
|
302
|
|
399
|
|
1 251
|
|
521
|
|
322
|
|
348
|
|
|
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|
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Production brute d’équivalent pétrole
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413
|
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184
|
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141
|
|
76
|
|
380
|
|
132
|
|
140
|
|
77
|
(en milliers de barils par jour)
|
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Coûts d’exploitation unitaires (en dollars par baril d’équivalent pétrole)
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34,65
|
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33,70
|
|
23,80
|
|
58,33
|
|
36,58
|
|
43,86
|
|
25,56
|
|
50,22
|
USD converti en fonction du taux de change moyen en cumul annuel
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25,64
|
|
24,94
|
|
17,61
|
|
43,16
|
|
28,90
|
|
34,65
|
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20,19
|
|
39,67
|
2023 0,74 dollar américain; 2022 0,79 dollar américain
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(a) Le secteur Amont comprend la part de L’Impériale de Kearl, Cold Lake, Syncrude et autres.
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Après plus d’un siècle d’existence, L’Impériale demeure un acteur majeur dans la promotion de la technologie et de l’innovation visant à mettre en valeur les ressources énergétiques du Canada de façon responsable. Principal raffineur de produits pétroliers du Canada, producteur incontournable de pétrole brut, producteur clé de produits pétrochimiques et chef de file dans la distribution de carburant à l’échelle du pays, notre entreprise continue de viser les normes les plus élevées qui soient, et ce, dans tous les secteurs d’activité.
Source: Imperial
Source: Imperial